CROISIÈRES
Parce que nous voulons vous offrir des itinéraires insolites entre mer et terre, nous vous proposons des croisières au départ de Nosy Be à bord de notre boutre traditionnel Efa Izy, à la découverte des plus beaux sites entre Nosy Be et la Grande Terre.
LA PRESQU’ILE D’AMPASINDAVA
La presqu’ile d’Ampasindava : Un croisière de 4 jours et 3 nuits au départ de Nosy Be.
ANDILANA / BAIE DES RUSSES
Embarquement depuis la plage d’Andilana pour naviguer avec Fa Izy en direction de la presqu’île d’Ampasindava. Appelée « Grande terre à l’ouest » par les habitants de Nosy Be, sa taille et son relief font d’elle un ensemble à part dans la géographie du nord-ouest. Dominé par plusieurs massifs montagneux, son littoral échancré offre de nombreux abris pour les navigateurs. Première étape du voyage, la Baie des Russes est un des meilleurs mouillages de la zone mais a été aussi le théâtre d’un épisode méconnu de la guerre russo-nipponne au début du XXème siècle. Bien protégé de la houle, le déjeuner a lieu à bord avant de débarquer dans ce site digne de l’île au trésor. Une marche facile permet d’admirer depuis les hauteurs un beau point de vue sur la baie, la mangrove et les collines environnantes. Retour sur la plage après le coucher du soleil, puis dîner et bivouac sur place.
BAIE DES RUSSES / BARAMAHAMAY
Une fois l’ancre levée, le petit-déjeuner est servi pendant que le boutre file vers le sud. Halte entre le pain de sucre d’Ankivonjy et la plage d’Antsoha, pour une séance de snorkelling à la découverte des fonds marins. Les eaux chaudes du Canal du Mozambique abritent ici une faune aquatique d’une richesse exceptionnelle, avec le passage saisonnier des baleines à bosse puis des requins baleines. Poursuite du cabotage et déjeuner sur le bateau avant d’atteindre l’estuaire de la Baramahamay. Entre deux lignes de crêtes, une petite passe dévoile à peine un immense amphithéâtre entre mer et montagne. C’est au cœur de ce paysage à couper le souffle, que l’annexe du bateau remonte le dédale des palétuviers à la rencontre de ses habitants et de sa faune. Retour dans la lumière dorée du couchant, puis dîner et nuit dans les cases traditionnelles de Josiane et Théophile.
BARAMAHAMAY / NOSY IRANJA / NOSY SAKATIA
Brève navigation matinale et petit déjeuner à bord avant d’atteindre Nosy Iranja. Ces deux îlots reliés par une langue de sable blanc composent un véritable décor de carte postale, entre le village de pêcheurs où mouillent quelques pirogues et le phare datant de l’époque coloniale. Avant l’afflux de touristes venus de Nosy Be, petit tour de l’île à pieds puis baignade dans les eaux turquoises où nagent de nombreuses tortues. Retour à bord pour le déjeuner pendant que l’alizée ramène le boutre en direction de Nosy Be. Nosy Sakatia, la dernière étape de ce périple en mer, est moins touristique que sa grande sœur dont elle est séparée par un simple chenal. Elle reste authentique avec le village de pêcheurs et la belle plage d’Antanambe, au bord de laquelle les bungalows de Richard offrent un confort simple et une cuisine à base de produits de la pêche.
NOSY SAKATIA / ANDILANA
Après le petit-déjeuner, la matinée est consacrée à la découverte en apnée du lieu-dit « la piscine », véritable jardin aquatique où paissent tranquillement d’énormes tortues. Protégé efficacement du braconnage, un groupe de plusieurs dizaines d’individus s’est sédentarisé autour des herbiers marins de Sakatia où il trouve une abondante nourriture et un havre de paix. Déjeuner chez Richard puis départ à pied pour traverser l’île, le long des collines qui offrent des vues imprenables sur Nosy Be d’un côté et l’horizon du grand large de l’autre. Le sentier passe par des vestiges de la forêt originelle et des zones cultivées avec des plantations d’ananas et des petits hameaux, avant de déboucher sur une crique. Là attendent Fa Izy et son équipage, pour effectuer la dernière petite navigation et rallier son port d’attache en fin d’après-midi, dans la baie d’Andilana.
LA PRESQU’ILE D’AMPASINDAVA
La presqu’ile d’Ampasindava : Un croisière de 4 jours et 3 nuits au départ de Nosy Be.
LA PRESQU’ILE D’AMPASINDAVA
La presqu’ile d’Ampasindava : Un croisière de 4 jours et 3 nuits au départ de Nosy Be.
ANDILANA / BAIE DES RUSSES
Embarquement depuis la plage d’Andilana pour naviguer avec Fa Izy en direction de la presqu’île d’Ampasindava. Appelée « Grande terre à l’ouest » par les habitants de Nosy Be, sa taille et son relief font d’elle un ensemble à part dans la géographie du nord-ouest. Dominé par plusieurs massifs montagneux, son littoral échancré offre de nombreux abris pour les navigateurs. Première étape du voyage, la Baie des Russes est un des meilleurs mouillages de la zone mais a été aussi le théâtre d’un épisode méconnu de la guerre russo-nipponne au début du XXème siècle. Bien protégé de la houle, le déjeuner a lieu à bord avant de débarquer dans ce site digne de l’île au trésor. Une marche facile permet d’admirer depuis les hauteurs un beau point de vue sur la baie, la mangrove et les collines environnantes. Retour sur la plage après le coucher du soleil, puis dîner et bivouac sur place.
BAIE DES RUSSES / BARAMAHAMAY
Une fois l’ancre levée, le petit-déjeuner est servi pendant que le boutre file vers le sud. Halte entre le pain de sucre d’Ankivonjy et la plage d’Antsoha, pour une séance de snorkelling à la découverte des fonds marins. Les eaux chaudes du Canal du Mozambique abritent ici une faune aquatique d’une richesse exceptionnelle, avec le passage saisonnier des baleines à bosse puis des requins baleines. Poursuite du cabotage et déjeuner sur le bateau avant d’atteindre l’estuaire de la Baramahamay. Entre deux lignes de crêtes, une petite passe dévoile à peine un immense amphithéâtre entre mer et montagne. C’est au cœur de ce paysage à couper le souffle, que l’annexe du bateau remonte le dédale des palétuviers à la rencontre de ses habitants et de sa faune. Retour dans la lumière dorée du couchant, puis dîner et nuit dans les cases traditionnelles de Josiane et Théophile.
BARAMAHAMAY / NOSY IRANJA / NOSY SAKATIA
Brève navigation matinale et petit déjeuner à bord avant d’atteindre Nosy Iranja. Ces deux îlots reliés par une langue de sable blanc composent un véritable décor de carte postale, entre le village de pêcheurs où mouillent quelques pirogues et le phare datant de l’époque coloniale. Avant l’afflux de touristes venus de Nosy Be, petit tour de l’île à pieds puis baignade dans les eaux turquoises où nagent de nombreuses tortues. Retour à bord pour le déjeuner pendant que l’alizée ramène le boutre en direction de Nosy Be. Nosy Sakatia, la dernière étape de ce périple en mer, est moins touristique que sa grande sœur dont elle est séparée par un simple chenal. Elle reste authentique avec le village de pêcheurs et la belle plage d’Antanambe, au bord de laquelle les bungalows de Richard offrent un confort simple et une cuisine à base de produits de la pêche.
NOSY SAKATIA / ANDILANA
Après le petit-déjeuner, la matinée est consacrée à la découverte en apnée du lieu-dit « la piscine », véritable jardin aquatique où paissent tranquillement d’énormes tortues. Protégé efficacement du braconnage, un groupe de plusieurs dizaines d’individus s’est sédentarisé autour des herbiers marins de Sakatia où il trouve une abondante nourriture et un havre de paix. Déjeuner chez Richard puis départ à pied pour traverser l’île, le long des collines qui offrent des vues imprenables sur Nosy Be d’un côté et l’horizon du grand large de l’autre. Le sentier passe par des vestiges de la forêt originelle et des zones cultivées avec des plantations d’ananas et des petits hameaux, avant de déboucher sur une crique. Là attendent Fa Izy et son équipage, pour effectuer la dernière petite navigation et rallier son port d’attache en fin d’après-midi, dans la baie d’Andilana.
L’ARCHIPEL DES RADAMA
L’archipel des Radama : Un circuit de 6 jours et 5 nuits au départ de Nosy Be.
ANDILANA / BAIE DES RUSSES
Embarquement sur Fa Izy depuis la plage d’Andilana pour naviguer en direction de la presqu’île d’Ampasindava. Appelée « Grande terre à l’ouest » par les habitants de Nosy Be, sa taille et son relief font d’elle un ensemble à part dans la géographie du nord-ouest. Dominé par plusieurs massifs montagneux, son littoral échancré offre de nombreux abris pour les navigateurs. Première étape du voyage, la Baie des Russes est un des meilleurs mouillages de la zone mais aussi le théâtre d’un épisode méconnu de la guerre russo-nipponne au début du XXème siècle. Bien protégé de la houle, le déjeuner a lieu à bord avant de débarquer dans ce site digne de l’île au trésor. Une marche facile permet de d’admirer depuis les hauteurs un beau point de vue sur la baie, la mangrove et les collines environnantes. Retour sur la plage après le coucher du soleil, puis dîner et bivouac sur place.
BAIE DES RUSSES / BARAMAHAMAY
Une fois l’ancre levée, le petit déjeuner est servi pendant que le boutre file vers le sud. Halte entre le pain de sucre d’Ankivonjy et la plage d’Antsoha, pour une séance de snorkelling à la découverte des fonds marins. Les eaux chaudes du Canal du Mozambique, abrite ici une faune aquatique d’une richesse exceptionnelle, avec le passage saisonnier des baleines à bosse puis des requins baleines. Poursuite du cabotage et déjeuner sur le bateau avant d’atteindre l’estuaire de la Baramahamay. Entre deux lignes de crêtes, une petite passe dévoile à peine un immense amphithéâtre entre mer et montagne. C’est au cœur de ce paysage à couper le souffle, que l’annexe du bateau remonte le dédale des palétuviers à la rencontre de ses habitants et de sa faune. Retour dans la lumière dorée du couchant, puis dîner et nuit dans les cases traditionnelles de Josiane et Théophile.
BARAMAHAMAY / KALAKAJORO / ANTANIMORA
Petit déjeuner à bord pendant que défile le paysage sauvage de la presqu’île d’Ampasindava. Plus au sud, en face de la baie de Sahamalaza, se dressent les îles Radama. L’archipel a été nommée à la mémoire d’un roi merina conquérant du XIXème, mais elles ont chacune un nom Sakalava. Ce royaume a dominé une grande partie de la côte ouest entre le XVI et le XVIIIème. Il était intégré aux voies commerciales qui reliaient Madagascar, les Comores et Zanzibar à la Route des Indes. Encore aujourd’hui les maîtres charpentiers y perpétuent les techniques de construction navale héritées du monde arabo-swahili. Après le déjeuner, Kalakajoro la première île croisée est bordée d’une barrière de corail idéale pour plonger. Mais c’est Antanimora qui offre le meilleur mouillage ainsi qu’un hébergement en case traditionnelle au village d’Antanifaly pour le dîner et la nuit.
ANTANIMORA / BERAFIA / ANTANIMORA
Après le petit déjeuner courte traversée pour rejoindre Berafia la plus grande des îles Radma. Si leur vocation première reste tournée vers la mer en servant de base pour des pêcheurs sédentaires ou saisonniers, chacune a une forme particulière et un destin à part. Toutes bénéficient du même microclimat que Nosy Be où, grâce à l’influence du massif du Tsaratanana, la végétation est luxuriante toute l’année. Ainsi, avec ses terres fertiles, Berafia a-t-elle été exploitée à l’époque coloniale pour diverses cultures d’exportation. Une belle balade permet de découvrir l’intérieur de l’île, depuis les anciennes plantations jusqu’à ses hauteurs avant de retourner au bateau pour le déjeuner. De retour sur Antanimora, c’est aussi à pieds que se passe la fin de journée, avec en point d’orgue un magnifique panorama sur l’archipel et en toile de fond les montagnes de la Grande Terre.
ANTANIMORA / MAROTONY
Embarquement matinal depuis le village de pêcheurs d’Antanifaly pour petit-déjeuner à bord. Cap au nord pour le trajet en sens inverse depuis les Radama jusqu’à Nosy Be. La remonté se fait en deux jours cette fois, avec des navigations un peu plus longues qu’à l’aller. La première étape, toujours en cabotant le long de la Presqu’île d’Ampasidava, mène le boutre à Nosy Iranja. Ces deux îlots reliés par une langue de sable blanc composent un véritable décor de carte postale, entre le village de pêcheurs où mouillent quelques pirogues et le phare datant de l’époque coloniale. Après le déjeuner à bord, petit tour de l’île à pieds puis baignade dans les eaux turquoises où nagent de nombreuses tortues. Poursuite de la navigation dans l’après-midi jusqu’à Marotony, village situé entre Baramahamay et la Baie des Russes. Dîner et nuit en bivouac sur la plage.
MAROTONY / ANDILANA
Le petit-déjeuner est servi pendant que le boutre quitte son mouillage pour l’ultime journée du voyage. Si la baie de Marotony est plus ouverte que la Baie des Russes sa voisine, les eaux douces des montagnes et la mer s’y mêlent aussi dans un vaste réseau de mangrove. Dans la matinée, halte au bord de la petite île d’Ankazoberavina pour une séance palmes, masque, tuba, à la découverte de la faune et de la flore qui peuplent le récif corallien. Les eaux chaudes du Canal du Mozambique, abritent ici une biodiversité aquatique d’une richesse exceptionnelle, avec le passage saisonnier des baleines à bosse puis des requins baleines. Dernier déjeuner à bord tandis que Nosy Be est déjà en vue. Il faut pourtant encore naviguer jusqu’à la fin d’après-midi pour rallier le port d’attache de Fa Izy au nord de l’île aux parfums, dans la Baie d’Andilana.
L’ARCHIPEL DES RADAMA
L’archipel des Radama : Un circuit de 6 jours et 5 nuits au départ de Nosy Be.
L’ARCHIPEL DES RADAMA
L’archipel des Radama : Un circuit de 6 jours et 5 nuits au départ de Nosy Be.
ANDILANA / BAIE DES RUSSES
Embarquement sur Fa Izy depuis la plage d’Andilana pour naviguer en direction de la presqu’île d’Ampasindava. Appelée « Grande terre à l’ouest » par les habitants de Nosy Be, sa taille et son relief font d’elle un ensemble à part dans la géographie du nord-ouest. Dominé par plusieurs massifs montagneux, son littoral échancré offre de nombreux abris pour les navigateurs. Première étape du voyage, la Baie des Russes est un des meilleurs mouillages de la zone mais aussi le théâtre d’un épisode méconnu de la guerre russo-nipponne au début du XXème siècle. Bien protégé de la houle, le déjeuner a lieu à bord avant de débarquer dans ce site digne de l’île au trésor. Une marche facile permet de d’admirer depuis les hauteurs un beau point de vue sur la baie, la mangrove et les collines environnantes. Retour sur la plage après le coucher du soleil, puis dîner et bivouac sur place.
BAIE DES RUSSES / BARAMAHAMAY
Une fois l’ancre levée, le petit déjeuner est servi pendant que le boutre file vers le sud. Halte entre le pain de sucre d’Ankivonjy et la plage d’Antsoha, pour une séance de snorkelling à la découverte des fonds marins. Les eaux chaudes du Canal du Mozambique, abrite ici une faune aquatique d’une richesse exceptionnelle, avec le passage saisonnier des baleines à bosse puis des requins baleines. Poursuite du cabotage et déjeuner sur le bateau avant d’atteindre l’estuaire de la Baramahamay. Entre deux lignes de crêtes, une petite passe dévoile à peine un immense amphithéâtre entre mer et montagne. C’est au cœur de ce paysage à couper le souffle, que l’annexe du bateau remonte le dédale des palétuviers à la rencontre de ses habitants et de sa faune. Retour dans la lumière dorée du couchant, puis dîner et nuit dans les cases traditionnelles de Josiane et Théophile.
BARAMAHAMAY / KALAKAJORO / ANTANIMORA
Petit déjeuner à bord pendant que défile le paysage sauvage de la presqu’île d’Ampasindava. Plus au sud, en face de la baie de Sahamalaza, se dressent les îles Radama. L’archipel a été nommée à la mémoire d’un roi merina conquérant du XIXème, mais elles ont chacune un nom Sakalava. Ce royaume a dominé une grande partie de la côte ouest entre le XVI et le XVIIIème. Il était intégré aux voies commerciales qui reliaient Madagascar, les Comores et Zanzibar à la Route des Indes. Encore aujourd’hui les maîtres charpentiers y perpétuent les techniques de construction navale héritées du monde arabo-swahili. Après le déjeuner, Kalakajoro la première île croisée est bordée d’une barrière de corail idéale pour plonger. Mais c’est Antanimora qui offre le meilleur mouillage ainsi qu’un hébergement en case traditionnelle au village d’Antanifaly pour le dîner et la nuit.
ANTANIMORA / BERAFIA / ANTANIMORA
Après le petit déjeuner courte traversée pour rejoindre Berafia la plus grande des îles Radma. Si leur vocation première reste tournée vers la mer en servant de base pour des pêcheurs sédentaires ou saisonniers, chacune a une forme particulière et un destin à part. Toutes bénéficient du même microclimat que Nosy Be où, grâce à l’influence du massif du Tsaratanana, la végétation est luxuriante toute l’année. Ainsi, avec ses terres fertiles, Berafia a-t-elle été exploitée à l’époque coloniale pour diverses cultures d’exportation. Une belle balade permet de découvrir l’intérieur de l’île, depuis les anciennes plantations jusqu’à ses hauteurs avant de retourner au bateau pour le déjeuner. De retour sur Antanimora, c’est aussi à pieds que se passe la fin de journée, avec en point d’orgue un magnifique panorama sur l’archipel et en toile de fond les montagnes de la Grande Terre.
ANTANIMORA / MAROTONY
Embarquement matinal depuis le village de pêcheurs d’Antanifaly pour petit-déjeuner à bord. Cap au nord pour le trajet en sens inverse depuis les Radama jusqu’à Nosy Be. La remonté se fait en deux jours cette fois, avec des navigations un peu plus longues qu’à l’aller. La première étape, toujours en cabotant le long de la Presqu’île d’Ampasidava, mène le boutre à Nosy Iranja. Ces deux îlots reliés par une langue de sable blanc composent un véritable décor de carte postale, entre le village de pêcheurs où mouillent quelques pirogues et le phare datant de l’époque coloniale. Après le déjeuner à bord, petit tour de l’île à pieds puis baignade dans les eaux turquoises où nagent de nombreuses tortues. Poursuite de la navigation dans l’après-midi jusqu’à Marotony, village situé entre Baramahamay et la Baie des Russes. Dîner et nuit en bivouac sur la plage.
MAROTONY / ANDILANA
Le petit-déjeuner est servi pendant que le boutre quitte son mouillage pour l’ultime journée du voyage. Si la baie de Marotony est plus ouverte que la Baie des Russes sa voisine, les eaux douces des montagnes et la mer s’y mêlent aussi dans un vaste réseau de mangrove. Dans la matinée, halte au bord de la petite île d’Ankazoberavina pour une séance palmes, masque, tuba, à la découverte de la faune et de la flore qui peuplent le récif corallien. Les eaux chaudes du Canal du Mozambique, abritent ici une biodiversité aquatique d’une richesse exceptionnelle, avec le passage saisonnier des baleines à bosse puis des requins baleines. Dernier déjeuner à bord tandis que Nosy Be est déjà en vue. Il faut pourtant encore naviguer jusqu’à la fin d’après-midi pour rallier le port d’attache de Fa Izy au nord de l’île aux parfums, dans la Baie d’Andilana.
LA BAIE DE MORAMBA
La baie de Moramba : Un circuit de 10 jours et 9 nuits au départ de Nosy Be.
ANDILANA / MAROTONY
Tôt le matin, embarquement depuis la plage d’Andilana à bord de Fa Izy en direction de la presqu’île d’Ampasindava. Appelée « Grande terre à l’ouest » par les habitants de Nosy Be, sa taille et son relief font d’elle un ensemble à part dans la géographie du nord-ouest. Dominé par plusieurs massifs montagneux, son littoral échancré offre de nombreux abris pour les navigateurs. Première halte du voyage : un spot corallien proche de l’île d’Ankazoberavina, idéal pour une séance de snorkelling. Les eaux chaudes du Canal du Mozambique, abrite ici une biodiversité aquatique d’une richesse exceptionnelle, avec le passage saisonnier des baleines à bosse et des requins baleines. Déjeuner à bord, puis poursuite de la navigation jusqu’à Marotony, un village situé dans une baie plus ouverte que la Baie des Russes sa voisine. Dîner et nuit en bivouac sur la plage.
MAROTONY / ANTANIMORA
Départ dans les premières lueurs de l’aube pour une journée de cabotage le long des côtes sauvages de la Grande Terre. Petit déjeuner et déjeuner à bord, tandis que se succèdent plages interminables et mangroves encerclées de montagnes. Plus loin apparaissent les 4 îles Radama, face à la baie de Sahamalaza qui marque la limite de la Presqu’île d’Ampasindava. Si l’archipel a été nommé à la mémoire d’un roi merina conquérant, chacune porte un nom Sakalava. Ce royaume qui a dominé une grande partie de la côte ouest du XVI au XVIIIème, traitait avec les navires qui reliaient Madagascar, les Comores et Zanzibar à l’Arabie ou l’Inde. En pénétrant dans l’archipel, le boutre laisse Kalakajoro à tribord puis Berafia à bâbord, avant de rejoindre Antanimora qui offre le meilleur mouillage ainsi qu’un hébergement en case traditionnelle au village d’Antanifaly pour le dîner et la nuit.
ANTANIMORA / NOSY LAVA
Le petit déjeuner est servi à bord au moment où le boutre s’éloigne en laissant les Radama dans son sillage. Quelques encablures vers le sud, Nosy Saba marque le passage à un climat beaucoup plus sec. C’est en débarquant à Nosy Lava après le déjeuner que le contraste se fait ressentir tant le lieu semble aride. Il faut dire que son histoire d’enfer carcéral donne chaud, l’île ayant servi de bagne pendant la colonisation puis de prison pour l’Etat malgache jusqu’en 2002. Nosy Lava est surtout un territoire sacré pour la dynastie locale Sakalava qui est encore dirigée par des Reines. Depuis les ruines du pénitencier, un sentier permet de parcourir son relief vallonné pour rejoindre l’ancien phare qui domine l’île et ses eaux turquoises, avec la côte ouest malgache en arrière-plan. Retour sur la plage dans la lumière du couchant pour le dîner et la nuit en bivouac.
NOSY LAVA / MORAMBA
En quittant Nosy Lava dans le calme du matin, la traversée de la Baie de Narindra qui s’enfonce profondément dans l’intérieur des terres, est plus facile pour la navigation à la voile. C’est aussi l’heure où le chassé-croisé des pirogues, des boutres et des goélettes est le plus intense. Ces embarcations sont autant de témoins silencieux de l’origine ultramarine du peuple malgache. Ils constituent encore aujourd’hui l’essentiel de la flotte qui relie les différents villages de la côte ouest. Le petit-déjeuner et le déjeuner sont servis à bord, avant de pénétrer l’après-midi dans la Baie de Moramba qui constitue l’étape la plus méridionale et le point d’orgue du voyage. Le lieu est si féérique que 3 jours sont nécessaires pour en profiter pleinement. C’est là que Brigitte offre aux navigateurs de passage le gîte et le couvert, là où tout n’est que simplicité, calme et volupté.
MORAMBA
Il faut se lever avec le jour dans ce lieu hors du commun, comme au premier matin du monde. Les nuits bercées par les bruits de la brousse se passent dans une case en bambou posée à même le sable. Son agencement et sa décoration sont en parfaite harmonie avec le paysage. Le chant des oiseaux emplit l’air, tandis que des lémuriens sifaka passent devant les yeux ébahis du voyageur fraîchement débarqué. Juste devant la plage se trouve un tableau des plus fascinants, composé d’îlots calcaires comme suspendus au-dessus de l’eau. Curiosités géologiques formées par l’érosion, ces tsingy marins abritent une flore digne d’un jardin jurassique.
De majestueux baobabs dominent cet arboretum de plantes endémiques qui, en poussant sur la roche acérée, sont à l’abri de l’homme. Pas de programme pour ces 2 journées mais juste des propositions pour s’immerger dans la nature, alternant avec de longs moments contemplatifs. Parmi les balades possibles il y a l’immense baie à explorer avec l’annexe du boutre, au bord des îlots et à l’intérieur de la mangrove. Puis viennent les marches, le long des crêtes, en traversant les villages, la visite de la grotte ou celle de la forêt sacrée, autant de moyens pour approcher en douceur ce paradis perdu. Chaque soir le coucher du soleil vient embraser un horizon peuplé par les ombres chinoises. La nuit est alors le moment propice pour imaginer à la table de Brigitte, le monde après son premier matin.
MORAMBA / ANALALAVA
Difficile de quitter un tel endroit mais c’est à l’aube qu’il faut reprendre la mer pour faire cap au nord. Le petit déjeuner est servi alors que la Baie de Moramba a disparu dans le sillage du boutre. Après la pointe qui marque l’entrée de la Baie de Narindra, le courant et le vent peuvent être forts si le varatraza souffle depuis l’Est. Une fois dépassée l’embouchure, le trajet est plus calme pour rejoindre Analalava. Déjeuner à bord avant d’accoster sur la Grande Terre, dans cette bourgade du bout du monde. Ancien chef-lieu de province, elle a sombré dans l’oubli depuis que le tracé de la route nationale a été dévié dans les années 60. Aujourd’hui c’est une piste pénible ou un voyage fluvial d’une journée sur la Loza qui permettent de rejoindre la RN6, axe routier reliant la Capitale au nord du pays. Seules les anciennes bâtisses rappellent le souvenir du passé colonial de cet endroit teinté de nonchalance. Dîner et nuit à l’hôtel.
ANALALAVA / AMPASIPITILY
Départ matinal depuis Analalava pour continuer la navigation en sens inverse vers le nord. Les paysages qui défilent sont caractéristiques du climat semi-aride de toute cette partie du littoral jusqu’à Majunga. Des plages et des dunes de sable blanc, succèdent aux bras de mangrove appelés kinga en malgache. La palette des verts : cocotiers, filaos ou vestiges de forêt sèche contraste agréablement avec le rouge latéritique et le bleu de l’azur. Dans ce décor, le ballet des voiles triangulaires ou trapézoïdales représente un spectacle intemporel. Seuls le petit-déjeuner et le déjeuner viennent interrompre cette contemplation reposante avant de débarquer à Ampasipitily. Ce village sakalava représente bien le mode de vie des communautés de pêcheurs de la côte ouest. Le marché du jeudi y est très animé et ses hauteurs offrent une jolie balade au couchant, avant l’installation pour le dîner et la nuit en bivouac.
AMPASIPITILY / BARAMAHAMAY
Depuis Amapasipitily la route qui mène à la prochaine étape, l’estuaire de la Baramahamay, passe légèrement à l’ouest des Radama avant de longer la côte. Après un départ matinal, le petit-déjeuner et le déjeuner sont servis sur le bateau. Sur cette partie du littoral, c’est à nouveau la luxuriance de la végétation qui frappe l’œil. Une forêt dense, bien qu’abîmée par endroit, surplombe des plages et des cocoteraies immenses. La ligne de crête est interrompue par une petite passe qui dévoile à peine un immense amphithéâtre entre mer et montagne. Le boutre pénètre au cœur de ce paysage à couper le souffle, et c’est avec l’annexe du bateau que se remonte la mangrove à la rencontre de ses habitants et de sa faune. Retour dans l’estuaire de la Baramahamay dans la lumière dorée du couchant, puis dîner et nuit dans les cases traditionnelles de Josiane et Théophile.
BARAMAHAMAY / NOSY IRANJA / ANDILANA
Courte navigation matinale et petit déjeuner à bord avant de rejoindre Nosy Iranja. Ces deux îlots reliés par une langue de sable blanc composent un véritable décor de carte postale, entre le village de pêcheurs où mouillent quelques pirogues et le phare datant de l’époque coloniale. Avant l’afflux des touristes venus de Nosy Be, petit tour de l’île à pieds puis baignade dans les eaux turquoises où nagent de nombreuses tortues. Retour à bord pour lever l’ancre et déjeuner pendant que l’alizée ramène le boutre vers son port d’attache au nord de l’île aux parfums. Même une fois en vue, il faut encore toute l’après-midi pour atteindre les côtes de Nosy Be, longer l’ile de Sakatia et finir ce périple au soleil couchant dans la Baie d’Andilana.
LA BAIE DE MORAMBA
La baie de Moramba : Un circuit de 10 jours et 9 nuits au départ de Nosy Be.
LA BAIE DE MORAMBA
La baie de Moramba : Un circuit de 10 jours et 9 nuits au départ de Nosy Be.
ANDILANA / MAROTONY
Tôt le matin, embarquement depuis la plage d’Andilana à bord de Fa Izy en direction de la presqu’île d’Ampasindava. Appelée « Grande terre à l’ouest » par les habitants de Nosy Be, sa taille et son relief font d’elle un ensemble à part dans la géographie du nord-ouest. Dominé par plusieurs massifs montagneux, son littoral échancré offre de nombreux abris pour les navigateurs. Première halte du voyage : un spot corallien proche de l’île d’Ankazoberavina, idéal pour une séance de snorkelling. Les eaux chaudes du Canal du Mozambique, abrite ici une biodiversité aquatique d’une richesse exceptionnelle, avec le passage saisonnier des baleines à bosse et des requins baleines. Déjeuner à bord, puis poursuite de la navigation jusqu’à Marotony, un village situé dans une baie plus ouverte que la Baie des Russes sa voisine. Dîner et nuit en bivouac sur la plage.
MAROTONY / ANTANIMORA
Départ dans les premières lueurs de l’aube pour une journée de cabotage le long des côtes sauvages de la Grande Terre. Petit déjeuner et déjeuner à bord, tandis que se succèdent plages interminables et mangroves encerclées de montagnes. Plus loin apparaissent les 4 îles Radama, face à la baie de Sahamalaza qui marque la limite de la Presqu’île d’Ampasindava. Si l’archipel a été nommé à la mémoire d’un roi merina conquérant, chacune porte un nom Sakalava. Ce royaume qui a dominé une grande partie de la côte ouest du XVI au XVIIIème, traitait avec les navires qui reliaient Madagascar, les Comores et Zanzibar à l’Arabie ou l’Inde. En pénétrant dans l’archipel, le boutre laisse Kalakajoro à tribord puis Berafia à bâbord, avant de rejoindre Antanimora qui offre le meilleur mouillage ainsi qu’un hébergement en case traditionnelle au village d’Antanifaly pour le dîner et la nuit.
ANTANIMORA / NOSY LAVA
Le petit déjeuner est servi à bord au moment où le boutre s’éloigne en laissant les Radama dans son sillage. Quelques encablures vers le sud, Nosy Saba marque le passage à un climat beaucoup plus sec. C’est en débarquant à Nosy Lava après le déjeuner que le contraste se fait ressentir tant le lieu semble aride. Il faut dire que son histoire d’enfer carcéral donne chaud, l’île ayant servi de bagne pendant la colonisation puis de prison pour l’Etat malgache jusqu’en 2002. Nosy Lava est surtout un territoire sacré pour la dynastie locale Sakalava qui est encore dirigée par des Reines. Depuis les ruines du pénitencier, un sentier permet de parcourir son relief vallonné pour rejoindre l’ancien phare qui domine l’île et ses eaux turquoises, avec la côte ouest malgache en arrière-plan. Retour sur la plage dans la lumière du couchant pour le dîner et la nuit en bivouac.
NOSY LAVA / MORAMBA
En quittant Nosy Lava dans le calme du matin, la traversée de la Baie de Narindra qui s’enfonce profondément dans l’intérieur des terres, est plus facile pour la navigation à la voile. C’est aussi l’heure où le chassé-croisé des pirogues, des boutres et des goélettes est le plus intense. Ces embarcations sont autant de témoins silencieux de l’origine ultramarine du peuple malgache. Ils constituent encore aujourd’hui l’essentiel de la flotte qui relie les différents villages de la côte ouest. Le petit-déjeuner et le déjeuner sont servis à bord, avant de pénétrer l’après-midi dans la Baie de Moramba qui constitue l’étape la plus méridionale et le point d’orgue du voyage. Le lieu est si féérique que 3 jours sont nécessaires pour en profiter pleinement. C’est là que Brigitte offre aux navigateurs de passage le gîte et le couvert, là où tout n’est que simplicité, calme et volupté.
MORAMBA
Il faut se lever avec le jour dans ce lieu hors du commun, comme au premier matin du monde. Les nuits bercées par les bruits de la brousse se passent dans une case en bambou posée à même le sable. Son agencement et sa décoration sont en parfaite harmonie avec le paysage. Le chant des oiseaux emplit l’air, tandis que des lémuriens sifaka passent devant les yeux ébahis du voyageur fraîchement débarqué. Juste devant la plage se trouve un tableau des plus fascinants, composé d’îlots calcaires comme suspendus au-dessus de l’eau. Curiosités géologiques formées par l’érosion, ces tsingy marins abritent une flore digne d’un jardin jurassique.
De majestueux baobabs dominent cet arboretum de plantes endémiques qui, en poussant sur la roche acérée, sont à l’abri de l’homme. Pas de programme pour ces 2 journées mais juste des propositions pour s’immerger dans la nature, alternant avec de longs moments contemplatifs. Parmi les balades possibles il y a l’immense baie à explorer avec l’annexe du boutre, au bord des îlots et à l’intérieur de la mangrove. Puis viennent les marches, le long des crêtes, en traversant les villages, la visite de la grotte ou celle de la forêt sacrée, autant de moyens pour approcher en douceur ce paradis perdu. Chaque soir le coucher du soleil vient embraser un horizon peuplé par les ombres chinoises. La nuit est alors le moment propice pour imaginer à la table de Brigitte, le monde après son premier matin.
MORAMBA / ANALALAVA
Difficile de quitter un tel endroit mais c’est à l’aube qu’il faut reprendre la mer pour faire cap au nord. Le petit déjeuner est servi alors que la Baie de Moramba a disparu dans le sillage du boutre. Après la pointe qui marque l’entrée de la Baie de Narindra, le courant et le vent peuvent être forts si le varatraza souffle depuis l’Est. Une fois dépassée l’embouchure, le trajet est plus calme pour rejoindre Analalava. Déjeuner à bord avant d’accoster sur la Grande Terre, dans cette bourgade du bout du monde. Ancien chef-lieu de province, elle a sombré dans l’oubli depuis que le tracé de la route nationale a été dévié dans les années 60. Aujourd’hui c’est une piste pénible ou un voyage fluvial d’une journée sur la Loza qui permettent de rejoindre la RN6, axe routier reliant la Capitale au nord du pays. Seules les anciennes bâtisses rappellent le souvenir du passé colonial de cet endroit teinté de nonchalance. Dîner et nuit à l’hôtel.
ANALALAVA / AMPASIPITILY
Départ matinal depuis Analalava pour continuer la navigation en sens inverse vers le nord. Les paysages qui défilent sont caractéristiques du climat semi-aride de toute cette partie du littoral jusqu’à Majunga. Des plages et des dunes de sable blanc, succèdent aux bras de mangrove appelés kinga en malgache. La palette des verts : cocotiers, filaos ou vestiges de forêt sèche contraste agréablement avec le rouge latéritique et le bleu de l’azur. Dans ce décor, le ballet des voiles triangulaires ou trapézoïdales représente un spectacle intemporel. Seuls le petit-déjeuner et le déjeuner viennent interrompre cette contemplation reposante avant de débarquer à Ampasipitily. Ce village sakalava représente bien le mode de vie des communautés de pêcheurs de la côte ouest. Le marché du jeudi y est très animé et ses hauteurs offrent une jolie balade au couchant, avant l’installation pour le dîner et la nuit en bivouac.
AMPASIPITILY / BARAMAHAMAY
Depuis Amapasipitily la route qui mène à la prochaine étape, l’estuaire de la Baramahamay, passe légèrement à l’ouest des Radama avant de longer la côte. Après un départ matinal, le petit-déjeuner et le déjeuner sont servis sur le bateau. Sur cette partie du littoral, c’est à nouveau la luxuriance de la végétation qui frappe l’œil. Une forêt dense, bien qu’abîmée par endroit, surplombe des plages et des cocoteraies immenses. La ligne de crête est interrompue par une petite passe qui dévoile à peine un immense amphithéâtre entre mer et montagne. Le boutre pénètre au cœur de ce paysage à couper le souffle, et c’est avec l’annexe du bateau que se remonte la mangrove à la rencontre de ses habitants et de sa faune. Retour dans l’estuaire de la Baramahamay dans la lumière dorée du couchant, puis dîner et nuit dans les cases traditionnelles de Josiane et Théophile.
BARAMAHAMAY / NOSY IRANJA / ANDILANA
Courte navigation matinale et petit déjeuner à bord avant de rejoindre Nosy Iranja. Ces deux îlots reliés par une langue de sable blanc composent un véritable décor de carte postale, entre le village de pêcheurs où mouillent quelques pirogues et le phare datant de l’époque coloniale. Avant l’afflux des touristes venus de Nosy Be, petit tour de l’île à pieds puis baignade dans les eaux turquoises où nagent de nombreuses tortues. Retour à bord pour lever l’ancre et déjeuner pendant que l’alizée ramène le boutre vers son port d’attache au nord de l’île aux parfums. Même une fois en vue, il faut encore toute l’après-midi pour atteindre les côtes de Nosy Be, longer l’ile de Sakatia et finir ce périple au soleil couchant dans la Baie d’Andilana.